dimanche 25 septembre 2011
"La Nouvelle guerre des boutons"
Je suis allée voir ce film aujourd'hui avec mon chéri et une amie. Ensuite, on est allés boire un cocktail et manger une glace. =P Une pêche melba pour madame et une fraise melba pour mon chéri et moi. ^^
Synopsis
Mars 1944. Alors que la planète est secouée par les soubresauts de la guerre mondiale, dans un petit coin d’une campagne française se joue une guerre de gosses… Car, depuis toujours, les gamins des villages voisins de Longeverne et Velrans s'affrontent sans merci. Mais, cette fois, leur guerre va prendre une tournure inattendue : tous les petits prisonniers se voient délestés des boutons de leurs vêtements, en sorte qu’ils repartent presque dénudés, vaincus et humiliés. Ce conflit porte désormais un nom : la "guerre des boutons". Et le village qui aura récolté le plus de boutons sera déclaré vainqueur… En marge de ce conflit, Violette, une jeune fille d'origine juive, fait battre le cœur de Lebrac, le chef des Longeverne. La véritable origine de Violette sera-t-elle dénoncée et découverte ?
Mon avis
Cela fait de nombreuses années que j'ai vu la vieille version cinématographique de La Guerre des boutons ! Je n'ai pas été déçue par cette nouvelle version. J'ai notamment été marquée par le parallèle entre les deux guerres, celle des enfants et celle des grands. Il y a d'abord contraste entre le côté relativement innocent de la guerre des enfants et l'aspect terrible de la Seconde Guerre mondiale, mais ce contraste va en diminuant, comme le montrent la scène de l'incendie et la torture du fils du maire, jusqu'à ce que finalement... *mais chut* C'est ce qui fait de ce long-métrage un film qui, d'un côté, est drôle et tendre, et de l'autre, voilé de noirceur. Si cette noirceur ne l'emporte pas, c'est parce que les enfants restent les héros de l'histoire et que leur innocence sauve le tout.
mercredi 21 septembre 2011
"Le Diable s'habille en prada" de Lauren Weisberger
En retard, comme d'habitude, je vous présente Le Diable s'habille en prada de Lauren Weisberger.
Quatrième de couverture
Vingt-trois ans, un diplôme de littérature en poche, Andrea débarque à New York en quête d'un premier job, prête à croquer à belles dents dans la Grosse Pomme. Ô miracle ! Elle décroche le poste d'assistante de Miranda Priestly, la rédactrice en chef d'un prestigieux magazine de mode, Runway. Des millions de filles se damneraient pour être à sa place ! Mais les dessous de la mode ne sont pas toujours faits de strass et de paillettes, et au contact de son incomparable patronne, Andrea découvre vite ce que le mot "enfer" veut dire.
Mon avis
"Tout ça pour ça ?!", voilà quelle fut ma première pensée en refermant ce roman. Trop de pages pour... pas grand chose. Lorsqu'on veut écrire un pavé, il faut un sacré talent, et je ne trouve pas que Lauren Weisberger soit dotée d'un talent si grandiose que cela. Je n'ai pas été très sensible à son humour, et surtout, j'ai trouvé que c'était beaucoup trop répétitif. Vraiment, je suis déçue. Ce roman aurait sûrement été plus sympa s'il avait été plus court...
Le Diable s'habille en prada fait partie de mes lectures de juillet et entre dans le cadre du challenge la littérature fait son cinéma.
mardi 20 septembre 2011
[Concours] Le Hameau des Purs
Je fais tout à la dernière minute (comme d'habitude ^^') et je m'en excuse. Luna propose sur son blog un concours susceptible de vous intéresser. Le gagnant gagnera un exemplaire du Hameau des Purs de Sonia Delzongue. A vos claviers !
Image : dessin de Victoria Francés.
lundi 19 septembre 2011
Cette vidéo qui résume tout
Mais ça va, j'ai un mental d'acier. =P J'en dirais pas de même pour la santé ; je suis en arrêt pour trois jours.
mercredi 14 septembre 2011
Message de SooYoung pour les SONE
Je le poste ici avec du retard ; je suis trop overbookée en ce moment. =S Mais cette vidéo m'a fait super plaisir !
lundi 12 septembre 2011
"Gone baby Gone" de Dennis Lehane
Je continue de rattraper mon retard !!!
Quatrième de couverture
Patrick Kenzie et Angela Gennaro sont chargés de retrouver une petite fille de quatre ans, Amanda McCready, disparue mystérieusement par une belle soirée d’automne. Leur rencontre avec la mère d’Amanda est pour le moins troublante : cette jeune femme de vingt-huit ans, célibataire, paraît peu concernée par ce qui est arrivé à sa fille qu’elle avait laissée seule, le soir du drame, pour aller dans un bar. Sa vie ne tourne qu’autour de l’alcool, de la drogue et de la télévision. C’est d’ailleurs la drogue qui fournit à Patrick et Angie leur première piste. Ils découvrent en effet que la jeune femme dealait pour le compte d’un certain Cheddar Olamon, à présent derrière les barreaux, et qu’elle aurait détourné les deux cent mille dollars de sa dernière livraison. Le truand se serait-il vengé en kidnappant la fille de son « employée » ? Il est également possible que la fillette ait été enlevée par des violeurs d’enfants notoires, dénoncés par un détenu les ayant connus.
En remontant la piste des « junkies », Patrick et Angie vont tomber sur une demande de rançon, une embuscade et un massacre. Mais alors qu’ils croient l’affaire terminée, ils apprendront de manière fortuite une terrible vérité qui va tout remettre en question. Et les confronter à un dilemme moral.
Ce quatrième volet des aventures de Kenzie et Gennaro, le préféré de Dennis Lehane, distille une petite musique déchirante chère à l’auteur et pose à chacun d’entre nous une question grave à laquelle il n’est pas si facile de répondre.
Mon avis
Ce que j'ai aimé, tout d'abord, c'est que, même si on sent l'empreinte américaine, il n'y a pas de manichéisme et les deux personnages principaux sont loin d'être présentés comme des surhommes.
C'est cette absence même de manichéisme qui contribue au malaise du lecteur, privé de repères rassurants. Pas de manichéisme, ça veut dire pas de solution parfaite. Bien sûr, vous me direz que Léon et Roberta Trett ne sont pas du côté blanc, mais s'il ne s'agissait que de ça... Au-delà de ces rebuts de l'humanité, il y a tous ceux teintés d'un gris plus ou moins prononcé. Il résulte de cette absence de manichéisme comme une sensation d'absurdité chez les personnages. Parce que le monde n'est pas constitué que de blanc et de noir, parce que le monde n'est constitué que de gris et de noir, il semble dépourvu de sens. Une formule me semble résumer parfaitement la chose, et elle est de Broussard : "Tout déconne".
- Tout déconne.
- Comment ça ?
- Tout déconne, a-t-il répété. Vous ne voyez pas ? Les bagnoles, les machines à laver, les réfrigérateurs et les premières baraques qu'on achète, les godasses merdiques et les fringues merdiques... Tout déconne. Y compris les écoles.
- Les écoles publiques, du moins.
- Ah bon ? Prenez donc ces imbéciles qui sortent des cours privés. Vous avez déjà essayé de parler à ces espèces de crétins révoltés ? Demandez-leur ce qu'est la morale, et ils vous répondent que c'est un concept. Demandez-leur ce qu'est la décence, et ils vous répondent que c'est un mot. Regardez-moi ces gosses de riches qui tabassent des poivrots à Central Park pour des histoires de drogue ou juste parce que ça les amuse. Les écoles déconnent parce que les parents déconnent parce que tout déconne toujours ; alors, pourquoi gaspiller de l'énergie, de l'amour ou quoi que ce soit si le monde doit vous laisser tomber ? Bonté divine, Patrick ! Nous-même, on déconne. Ce même était chez eux depuis deux semaines ; personne n'avait la moindre idée de ce qui lui était arrivé. Il était dans cette baraque, on s'en est douté plusieurs heures avant qu'il soit tué, mais on s'est contentés d'en discuter dans un bar. Il a eu la gorge tranchée alors qu'on aurait dû défoncer la porte depuis longtemps.
- Notre société est aujourd'hui la plus riche, la plus avancée de toute l'histoire de la civilisation, et pourtant on ne peut empêcher qu'un gosse soit charcuté dans une baignoire par trois monstres. Pourquoi ?
- Comment ça ?
- Tout déconne, a-t-il répété. Vous ne voyez pas ? Les bagnoles, les machines à laver, les réfrigérateurs et les premières baraques qu'on achète, les godasses merdiques et les fringues merdiques... Tout déconne. Y compris les écoles.
- Les écoles publiques, du moins.
- Ah bon ? Prenez donc ces imbéciles qui sortent des cours privés. Vous avez déjà essayé de parler à ces espèces de crétins révoltés ? Demandez-leur ce qu'est la morale, et ils vous répondent que c'est un concept. Demandez-leur ce qu'est la décence, et ils vous répondent que c'est un mot. Regardez-moi ces gosses de riches qui tabassent des poivrots à Central Park pour des histoires de drogue ou juste parce que ça les amuse. Les écoles déconnent parce que les parents déconnent parce que tout déconne toujours ; alors, pourquoi gaspiller de l'énergie, de l'amour ou quoi que ce soit si le monde doit vous laisser tomber ? Bonté divine, Patrick ! Nous-même, on déconne. Ce même était chez eux depuis deux semaines ; personne n'avait la moindre idée de ce qui lui était arrivé. Il était dans cette baraque, on s'en est douté plusieurs heures avant qu'il soit tué, mais on s'est contentés d'en discuter dans un bar. Il a eu la gorge tranchée alors qu'on aurait dû défoncer la porte depuis longtemps.
- Notre société est aujourd'hui la plus riche, la plus avancée de toute l'histoire de la civilisation, et pourtant on ne peut empêcher qu'un gosse soit charcuté dans une baignoire par trois monstres. Pourquoi ?
Le constat est amère et la société américaine est loin d'être glorifiée...
L'accent est bien mis sur le fait que le progrès scientifique et technologique ne va pas forcément de pair avec un progrès moral. Quelle société que celle où les gens sont obligés de fuir la réalité à travers la drogue ou la télévision ! Celle-ci ne cesse d'être fustigée dans le roman. Helene, accro à l'alcool, à la drogue et à la télévision, est celle qui incarne le mieux, dans le roman, ces gens qui se sont complètement coupés du monde et de la réalité.
Un roman que je vous recommande chaudement, et ce bien que je ne sois pas une accro aux polars.
Gone baby Gone fait partie de mes lectures de juillet et entre dans le cadre du challenge la littérature fait son cinéma.
dimanche 11 septembre 2011
"Le Bal des poignards I : La Dague au lys rouge" de Juliette Benzoni.
En retard comme d'habitude, je viens vous présenter le premier tome d'un diptyque écrit par Juliette Benzoni.
Quatrième de couverture
Orpheline élevée au couvent, Lorenza Davanzati est l'héritière d'une grande fortune et filleule de la reine de France, Marie de Médicis. Son destin bascule lorsque son charmant fiancé, Vittorio Strozzi, est assassiné la veille du mariage au moyen d'une dague accompagnée d'un billet : quiconque prétendra épouser la jeune fille mourra de la même façon...
Lorsque la reine de France est menacée d'être répudiée par Henri IV, elle demande à Lorenza de séduire Antoine, le fils d'un fidèle conseiller du roi, pour gagner ses faveurs. Hélas, il la repousse. Elle va donc épouser le père...
Les passions, les intrigues et les meurtres vont alors se déchaîner.
Mon avis
Depuis quelques mois, France Loisirs propose d'offrir un livre à ses membres au bout de cent points cumulés. Au bout de mes premiers cent points, j'ai décidé de choisir comme cadeau ce roman, qui m'attirait beaucoup. Je n'ai pas été déçue ! C'est un roman passionnant qui possède d'emblée un triple avantage. En effet, il peut intéresser aussi bien les mordus de romans historiques que les adeptes de romans d'amour et les accros de romans policiers. Le cocktail est parfaitement réussi, d'autant qu'il est extrêmement vivant et bien écrit. Tout respire la subtilité, notamment la peinture des personnages : une véritable fresque ! D'ailleurs, êtes-vous plutôt Antoine ou Thomas ? Pour ma part, je vote Thomas, et donc le lion plutôt que le loup. ;) Sur ce, je souhaite une bonne lecture à ceux ou celles qui tenteront l'aventure ; moi, j'attends de pouvoir enfin ouvrir le tome 2, que j'ai reçu par la poste au début du mois, d'autant plus que la fin du tome 1 laisse le lecteur en haleine...
Le Bal des poignards I : La Dague au lys rouge fait partie de mes lectures de juillet.
Pfiou !
J'ai bien travaillé ce week-end et ce n'est pas fini... J'ai corrigé trois paquets de copies et j'ai mis à jour les cahiers de textes de toutes mes classes. Me reste à déterminer ce que je compte faire lundi et mardi exactement.
Hier, j'ai également vu mon frère. Avec mon chéri, on a joué avec lui à une partie de Heroes V, où on s'est fait défoncer (si l'ordi arrêtait de tricher, aussi ! ><). J'ai aussi un peu avancé dans le premier tome d'Acacia. :)
Photo : Tiffany ! (histoire de changer ^^)
samedi 10 septembre 2011
Premier paquet de copies
Bon, je viens de corriger mon premier paquet de copies ! Je ne mets pas de notes, c'est juste pour évaluer le niveau des élèves. Comme je prends en même temps des notes sur les élèves, ça me prend vraiment beaucoup de temps...
Hier, c'était ma plus grosse journée ; je suis rentrée complètement morte chez moi. J'avais les jambes brisées à force d'être debout. Toutes mes classes ont été plutôt sympa, pourtant. Enfin, si on omet une certaine 5e, qui m'a fait un cirque pas possible, et deux garçons de 6e, que j'ai fini par faire pleurer de peur, en les menaçant d'appeler leurs parents (en même temps, quand ça fait 3h que vous avez ces 6e, et qu'ils ne comprennent rien à vos avertissements... ils ne sont pas méchants, juste chiants... enfin, je leur ai laissé une dernière chance ; mais j'ai les numéros de leurs parents sous le coude, et à la moindre connerie, je sais ce qu'il me reste à faire).
Photo : SooYoung à l'aéroport (bien avant son accident !).
lundi 5 septembre 2011
Récapitulatif de mes lectures d'août
Damneeeeed ! j'ai failli oublier ! Je suis en retard ! ><
- La Gaspilleuse des Frères Grimm *
- Artemis Fowl 6 : le paradoxe du temps d'Eoin Colfer *
- Le Petit cœur brisé de Moka (relecture) *
- La Chambre du pendu de Moka (relecture) *
- Soul Eater IV d'Atsushi Ohkubo (relecture) *
- Soul Eater V d'Atsushi Ohkubo *
- Soul Eater VI d'Atsushi Ohkubo *
- Soul Eater VII d'Atsushi Ohkubo *
- Soul Eater VIII d'Atsushi Ohkubo *
- Soul Eater IX d'Atsushi Ohkubo *
Photo : Sunny adorée :D
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