Qu'ai-je acquis cette semaine ?
Tout d'abord, j'ai reçu les cadeaux de nowel de ma mère et de sa copine :
- Une armada de verres, qui ont tous des motifs différents (pratique lorsqu'il y a beaucoup d'invités hihi) et qui changeront des verres mayo et nutella ;
- Les DVD des saisons 2, 3 et 4 de Gossip Girl.
Ma mère m'a également prêté deux livres :
« On en voulait encore. On frappait sur la table avec le manche de nos
fourchettes, on cognait nos cuillères vides contre nos bols vides ; on
avait faim. On voulait plus de bruit, plus de révoltes. On montait le
son de la télé jusqu'à avoir mal aux oreilles à cause du cri des hommes
en colère. On voulait plus de musique à la radio ; on voulait du rythme ;
on voulait du rock. On voulait des muscles sur nos bras maigres. On
avait des os d'oiseau creux et légers, on voulait plus d'épaisseur, plus
de poids. On était six mains qui happaient et six pieds qui
trépignaient ; on était des frères, des garçons, trois petits rois unis
dans un complot pour en avoir encore. »
La famille, c'est la jungle. Les parents s'aiment, se battent. Au milieu du chaos, trois enfants tentent de grandir. La meute observe les fauves. Quand le père danse, les petits l'imitent. Quand la mère dort, ils apprennent à rester silencieux. La vie animale est âpre. Mais l'imaginaire est sans limites.
La famille, c'est la jungle. Les parents s'aiment, se battent. Au milieu du chaos, trois enfants tentent de grandir. La meute observe les fauves. Quand le père danse, les petits l'imitent. Quand la mère dort, ils apprennent à rester silencieux. La vie animale est âpre. Mais l'imaginaire est sans limites.
« Ce que personne n'a jamais su, ce mystère dont on ne parlait pas le
dimanche après le match, cette sensation que les vieilles tentaient de
décortiquer le soir, enfouies sous les draps, cette horreur planquée
derrière chaque phrase, chaque geste, couverte par les capsules de soda,
tachée par la moutarde des hot-dogs vendus avant les concerts ; cette
peur insupportable, étouffée par les familles, les chauffeurs de bus et
les prostituées, ce que personne n'a pu savoir, c'est ce que Thomas
avait ressenti quand le flic aux cheveux gras lui avait passé les
bracelets, en serrant si fort son poignet que le sang avait giclé sur la
manche de sa chemise. »
Tout est là : le mutisme, le poids des regards, l'irrémédiable du destin d'un enfant sage, devenu trop taciturne et ombrageux. Thomas Hogan aura pourtant tout fait pour exorciser ses démons - les mêmes qui torturaient déjà son père. Quand a-t-il basculé ? Lorsque Paul l'a trahi pour rejoindre la bande de Calvin ? Lorsqu'il a découvert le Blue Budd, le poker et l'alcool de poire ? Lorsque Donna l'a entraîné naïvement derrière la scierie maudite ?
Et vous, qu'avez-vous acquis cette semaine ?
Je ne connais pas ces deux mais j'espère qu'ils te plairont ^^ Ah Gossip Girl, j'ai jamais réussi à dépasser la saison 1 (ou 2, je m'en souviens plus ^^) Mais quand on m'a dit qui était Gossip Girl, j'étais revolté, ça n'a aucune crédibilité j'ai trouvé ! J'espère plus apprécier les livres ( j'ai eu le 1er tome cette semaine justement pour répondre à ta question XD) Cependant, je te souhaite un excellent visionnage ^^
RépondreSupprimerAh, j'ai horreur des gens qui spoilent. =O Moi, dernièrement, on m'a gâché la fin de la saison 2 de "Pretty Little Liars". :'(
SupprimerLes livres sont archi différents de la série, l'univers est beaucoup plus sombre. Pas un personnage pour rattraper l'autre lol La série a beaucoup édulcorer la chose. Je regrette juste que ce ne soit pas très bien écrit. Il faudrait que je reprenne ma lecture un jour.
Bizooos
C'est bon à savoir alors ^^
SupprimerC'est bête pour Pretty little liars ! J'avoue cette série je l'ai abandonné à partir de la saison 2 aussi car je trouvais que les scénaristes se moquaient un peu du monde ^^
J'avoue que les scénaristes se moquent un peu du monde, pour certains aspects. x) Mais j'aime quand même beaucoup cette série, notamment grâce à certains personnages, comme Hanna <3
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